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 Psychiatrie - Danger - Manipulation de l'Être !...

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MessageSujet: Psychiatrie - Danger - Manipulation de l'Être !...   Psychiatrie - Danger - Manipulation de l'Être !... Icon_minitimeVen 2 Nov - 21:15

LES DANGERS DE LA PSYCHIATRIE MODERNE
Lawrence Stevens, J.D.

LES NEUROLEPTIQUES, ANTI-PSYCHOTIQUES, ANTI-SCHIZOPHRÉNIQUES



Aussi dangereux que soit les médicaments de la soi-disant psychiatrie que sont les soi-disant antidépresseurs, le lithium et les soit-disant anxiolytiques (tranquillisants) peuvent être, ils sont loin d’être aussi dommageables que les neuroleptiques, aussi appelés « antipsychotiques » ou « anti-schizophréniques ». Inclus dans cette catégorie sont, le Largatil (chlorpromazine), le Mellaril, le Prolixin (fluphenazine), le Compazine, le Stelazine, et l’Haldol (haloperidol), ainsi que plusieurs autres. Tenant compte de leurs effets psychologiques, ces soi-disant neuroleptiques provoquent la misère et non la tranquillité. Ils bloquent (physiquement et par leur action neurologique), en grande partie, les capacités d’agir et de penser d’une personne, et cela même aux doses courantes. En handicapant les gens, ils peuvent arrêter presque n’importe quel pensée ou comportement que le « thérapeute » veut arrêter. Mais ceci ne fait qu’handicaper une personne, ce n’est pas une thérapie. Le médicament arrête temporairement, ou détruit de façon permanente les bons comme les mauvais côtés de la personnalité d’une personne. Si, et à quel degré le handicap causé le médicament peut partir en arrêtant le médicament dépend de la durée de la prise, et du dosage administré. Les soi-disant médicaments neuroleptiques/antipsychotiques endommagent le cerveau d’une manière plus évidente, sévèrement et de façon permanente que n’importe quel autre classe de médicaments utilisée en psychiatrie. Les docteurs, Joyce G. Small, M.D., et Iver F. Small, M.D., tous deux Professeurs de psychiatrie à l’Université de l’Indiana, critiquent les psychiatres qui utilisent des « psychotropes qui sont connus comme ayant des effets neurotoxiques », et parlent « de la prise de conscience de plus en plus répandue, des effets secondaires indésirables à long-terme et quelques fois permanents sur la fonction cérébrale induits par les neuroleptiques. Dans ce cas la preuve des dommages au cerveau n’est pas subtile mais plutôt grossièrement évidente, même pour l’observateur non-initié ! » (Behavioral and Brain Sciences, Mars 1984, Vol. 7, p. 34). Selon Conrad M. Swartz, Ph.D., M.D., Professeur de psychiatrie à l’école médicale de Chicago, « Bien que les neuroleptiques soulagent l’anxiété psychotique, leur effet calmant s’étend à d’autres aspects subtils de la personnalité, incluant l’initiative, les réactions émotionnelles, l’enthousiasme, le désir sexuel, l’attention, et la perception du soi. ... Ceci, en plus des effets secondaires, le plus commun étant des mouvements involontaires, qui sont la preuve d’un dommage au cerveau » (Behavioral and Brain Sciences, Mars 1984, Vol. 7, pp. 37-3. Le Mental and Physical Disability Law Reporter, dans un rapport publié en 1985, indique que les tribunaux des États-Unis ont finalement commencé à considérer que l’administration involontaire des soi-disant antipsychotiques/neuroleptiques pourrait être affecté par les droits donnés par le Premier Amendement de la Constitution des États-Unis. « Parce que... les médicaments antipsychotiques ont la capacité de nuire sévèrement et même pour la vie à la faculté de penser et de communiquer d’une personne » (« Les revendications sur l’administration involontaire de médicaments progressent », Janvier-Février 1985, p. 26 - emphase ajoutée). Dans: Les molécules du cerveau: la nouvelle science utopique de la psychologie moléculaire, ( Molecules of the Mind: The Brave New Science of Molecular Psychology), le Professeur Jon Franklin a noté: « Cette ère coïncida avec une prise de conscience croissante que les neuroleptiques non seulement ne guérissaient pas la schizophrénie - mais qu’ils endommageaient en fait le cerveau. Soudainement, les psychiatres qui les utilisaient, comme auparavant leurs patients marginaux, furent soupçonnés de Nazisme et même pire » (Dell Pub. Co., 1987, p. 103). Dans son livre « Les Médicaments Psychiatriques : Danger pour le Cerveau », (Psychiatric Drugs: Hazards to the Brain), le psychiatre Peter Breggin, M.D., allègue qu’en utilisant des médicaments qui endommagent le cerveau, « La psychiatrie a libérée à travers le monde, une épidémie qui atteint de un à deux millions de personnes chaque année » (op. cit., pp. 109 & 108). Dans les cas graves, le dommage au cerveau provoqué par les neuroleptiques prend la forme de mouvements corporel anormaux appelés dyskinésie tardive. Mais la dyskinésie tardive est seulement la pointe de l’iceberg des dommages cérébraux causés par les neuroleptiques. Les facultés supérieures du cerveau sont plus vulnérables et sont dérangées avant les fonctions élémentaires comme le contrôle musculaire. Le professeur de psychiatrie, le docteur Richard Abrams, M.D., a reconnu que « la dyskinésie tardive a maintenant été détecté après de cours traitements avec des médicaments neuroleptiques (dans: Benjamin B. Wolman (éditeur), The Therapist's Handbook: Treatment Methods of Mental Disorders, (Le Manuel du Thérapeute : Méthodes de Traitement des Troubles Mentaux), Van Nostrand Reinhold Co., 1976, p. 25). Dans son livre The New Psychiatry (La Nouvelle Psychiatrie), publié en 1985, le professeur Jerrold S. Maxmen, M.D. de l’Université Columbia, allègue « Le meilleur moyen d’éviter la dyskinésie tardive est d’éviter complètement les médicaments antipsychotique. À l’exception du traitement de la schizophrénie, ils ne doivent jamais être utilisés pour plus de deux à trois mois consécutifs. Ce qui est criminel, c’est que beaucoup trop de patients reçoivent des antipsychotiques et qui ne devraient pas » (Mentor, pp. 155-156). En fait, le Dr. Maxmen ne va pas assez loin. Sa qualification de l’administration des soi-disant médicaments antipsychotique/anti-schizophrénique/neuroleptique comme « criminelle » est correcte pour tous les gens, incluant ceux appelés schizophrènes, même si les médicaments ne sont pas donnés assez longtemps pour que les dommages au cerveau en arrivent à la dyskinésie tardive. L’auteur de la préface d’un livre de quatre médecins, publié en 1980, Tardive Dyskinesia: Research & Treatment, (Dyskinésie Tardive : Recherche et Traitement) a fait ces remarques: « À la fin des années soixante j’ai résumé la littérature sur la dyskinésie tardive ... La majorité des psychiatres, ou bien ignoraient l’existence de ce problème, ou bien faisaient des efforts futiles pour prouver que ces anomalies motrices étaient cliniquement négligeables ou sans rapport avec la thérapie médicamenteuse. Pendant ce temps, le nombre de patients souffrant de dyskinésie tardive augmenta et les symptômes empirèrent pour ceux ayant cette maladie. ... il y a peu de chercheurs ou de cliniciens qui ont encore des doutes sur la nature iatrogène [d’origine médicale] de la dyskinésie tardive. ... Il est évident que plus une personne en apprend sur les effets toxiques des neuroleptiques sur le système nerveux central, plus elle voit la nécessité de revoir nos pratiques médicales concernant ces médicaments. Il est malheureux que de nombreux praticiens continuent à prescrire des psychotropes à des dosages excessifs, et qu’un nombre considérable d’institutions psychiatriques n’ont pas encore mis en oeuvre une politique concernant l’administration et la prévention de la dyskinésie tardive. Si ce livre, qui représente les opinions des experts dans ce domaine, peut faire une marque sur la complaisance de nombreux psychiatres, ce ne sera pas une petite réussite » (in: William E. Fann, M.D., et al., Tardive Dyskinesia: Research & Treatment, (Dyskinésie Tardive : Recherche et Traitement), SP Medical & Scientific). Dans Psychiatric Drugs: Hazards to the Brain (Médicaments Psychiatriques: Danger pour le Cerveau) , le psychiatre Peter Breggin, M.D., dit ceci: « Les neuroleptiques sont des substances extrêmement toxiques, ils sont des poisons pour de nombreux organes du corps. Ils sont particulièrement des neurotoxines très puissantes, et produisent fréquemment des dommages permanents au cerveau. ... la dyskinésie tardive peut se développer avec de faibles doses, pour un court laps de temps... la démence [perte des fonctions cérébrales supérieures] associée à la dyskinésie tardive est habituellement irréversible. ... Rarement me suis-je senti plus triste ou plus impuissant que par la négligence de la psychiatrie à admettre l’évidence qu’elle est en train de causer des lobotomies irréversibles, des psychoses, et la démence chez des millions de patients à cause des traitements aux neuroleptiques » (op. cit., pp. 70, 107, 135, 146).
Richard Abrams, M.D., professeur de psychiatrie, a mis en évidence que « Les antidépresseurs tri-cycliques sont chimiquement des modifications mineures de la chlorpromazine [Largatil] et furent introduits comme des neuroleptiques potentiels » (in: B. Wolman, The Therapist's Handbook (Le manuel du thérapeute), op. cit., p. 31). Dans son livre Psychiatric Drugs: Hazards to the Brain(Médicaments Psychiatriques: Dangers pour le cerveau), le Dr. Breggin appelle les soi-disant antidépresseurs « Des neuroleptiques déguisés » (p. 166). Le psychiatre Mark S. Gold, M.D., a dit que les antidépresseurs peuvent causer la dyskinésie tardive. (The Good News About Depression (La bonne nouvelle à propos da la dépression), Bantam, 1986, p. 259).
Dans son livre, Psychiatric Drugs: Hazards to the Brain (Médicaments Psychiatriques: Dangers pour le cerveau), le psychiatre Peter Breggin, M.D., dit « Encore et encore, dans mon expérience clinique, je fut témoin de patients conduits à une angoisse et une colère extrême parce qu’ils étaient forcés de prendre des neuroleptiques. ... Le problème est si répandu dans la pratique hospitalière quotidienne qu’une grande proportion doivent subir la menace d’une injection intramusculaire forcée avant qu’ils ne prenne le médicament » (p. 45).

COMPARAISON ENTRE LE TRAITEMENT PSYCHIATRIQUES FORCÉ ET LE VIOL

L’administration forcée d’un médicament psychiatrique (ou d’un soi-disant traitement comme les électrochocs) est une sorte de tyrannie qui peut être comparée, physiquement et moralement, avec le viol. Comparez le viol sexuel et l’administration involontaire d’un médicament psychiatrique, injecté intra-musculairement dans une fesse, qui est la partie de l’anatomie où l’injection est habituellement faite : Dans le viol sexuel comme dans l’administration involontaire d’un médicament psychiatrique, la force est utilisée. Dans les deux cas les pantalons de la victimes sont abaissés. Dans les deux cas, un tube est inséré dans le corps de la victime contre son gré. Dans le cas du viol sexuel, le tube est un pénis. Dans le cas de ce qu’on pourrait appelé un viol psychiatrique, le tube est une aiguille hypodermique. Dans les deux cas, un fluide est injecté dans le corps de la victime contre son gré. Dans les deux cas, c’est dans (ou près) du derrière. Dans le cas du viol sexuel, le fluide est du sperme. Dans le cas du viol psychiatrique, le fluide est du Largatil, du Prolixin ou une autre drogue handicapant le cerveau. L’invasion corporelle est similaire dans les deux cas sinon (pour des raisons que j’expliquerai) pire, dans le cas du viol psychiatrique. Similaire aussi, est le sentiment d’outrage dans l’esprit de la victime de chaque type d’agression. Comme le disait Thomas Szasz, professeur de psychiatrie, « la violence est la violence, peut importe qu’elle soit nommée une maladie psychiatrique ou un traitement psychiatrique ». Certains qui ne sont pas « hospitalisés » (c’est à dire emprisonnés) sont forcés, sous la menace d’emprisonnement (« hospitalisation »), de se présenter à un bureau de médecin à toutes les deux semaines pour une injection d’un neuroleptique à longue durée d’action comme le Prolixin.
Pourquoi le viol psychiatrique est-il pire que le viol sexuel? Comme le disait, le chirurgien du cerveau I. S. Cooper, dans son autobiographie: « C’est votre cerveau qui voit, ressent, pense, commande, répond. Vous êtes votre cerveau. Il est vous. Transporté dans un autre porteur, un autre corps, votre cerveau lui fournirait vos souvenirs, vos pensées, vos émotions. Ce serait encore vous. Le nouveau corps serait votre contenant. Il vous transporterait où vous voulez. Votre cerveau c’est vous. » (The Vital Probe: My Life as a Brain Surgeon (Le senseur vital: Ma vie comme chirurgien du cerveau), W.W.Norton & Co., 1982, p. 50-emphase dans l’original). La partie de votre corps la plus essentielle et la plus intime n’est pas celle entre vos jambes mais celle entre vos oreilles. Une agression contre le cerveau d’une personne comme l’imposition d’un « traitement« handicapant ou dommageable pour le cerveau (comme un psychotrope, un électrochoc ou une chirurgie cérébrale) est un crime attaquant plus l’intimité et moralement plus horrible qu’un viol sexuel. En termes moraux, le viol psychiatrique est un crime plus grave que le viol sexuel, pour une autre raison : L’administration involontaire des « thérapies » biologiques de la psychiatrie provoque des dommages permanents au cerveau. Ceci, contrastant avec le fait que chez la femme violée, la fonction sexuelle reste habituellement intacte. Elles souffrent bien sur d’un traumatisme psychologique, mais les victimes d’agressions psychiatrique aussi. J’espère que ces propos ne seront pas interprétés comme minimisant le traumatisme et l’horreur du viol sexuel si je fait la remarque que j’ai défendue en justice des femmes victimes de viol sexuel et que chacune de cette demi-douzaine (environ) que j’ai connue ont reprises une vie sexuelle apparemment normale, et dans la plupart des cas se sont mariées et ont fondée une famille. Au contraire, les cerveaux des personnes ayant subies l’agression psychiatrique ne sont souvent pas complètement fonctionnels à cause des dommages physiques et biologiques provoqués par le « traitement ». Dans un talk show télévisé en 1990, le psychanalyste Jeffrey Masson, Ph.D., a dit qu’il souhaitait que ceux responsables de telles « thérapies » feront face un jour à des « procès de Nuremberg » (Geraldo, Nov. 30, 1990).
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MessageSujet: Re: Psychiatrie - Danger - Manipulation de l'Être !...   Psychiatrie - Danger - Manipulation de l'Être !... Icon_minitimeSam 3 Nov - 12:17

merci de nous faire partager cet article.
il faut savoir que n'importe quel médicament que ce soit, dans ce genre de traitement, est mauvais et handicapant.
la personne n'est plus elle même et ne sait plus faire les gestes de la vie courante.

en exemple:

je connais des collègues de travail qui prennent ce genre de traitement pour la depression. le moindre de travail à fournir est un effort de pensée pour elles. Elles ne savent plus travailler et ne se rappellent plus ce qu'elles doivent faire.
c'est très grave ................
elles n'ont plus de mémoire du tout.
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